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J'imaginais Solitude and Suicide comme l'album de la dissidence — avec un black metal ni totalement dépressif, ni symphonique, ni païen : il était un peu à part — mais il jouait en réalité le rôle d'album de transition. Dans Pandemic Transgression, Funeral Fornication met encore plus l'accent sur les synthés et entre de plain-pied dans le black metal symphonique. Le vitriol saturé existe encore part endroits mais ce sont les atmosphères et les mélodies qui emportent la bataille. Plus accessible. Jordan Vauvert
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Faire passer le black par un équipement daté pour rendre le son brut de décoffrage, j'ai longtemps pensé que c'était Staurophagia le maître en la matière mais Obsidian Tongue l'a fait avant lui et tout aussi bien dans son premier opus, Volume I: Subradiant Architecture. On se retrouve ainsi avec un black metal qui rend hommage à l'école norvégienne, entre poésie ésotérique ("Approaching the Well", "It Dangles from the Bones") et guitares furieuses, mais il est aussi très moderne. Un bon album ! Jordan Vauvert
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stroszek, c'est selon c. lui-même "de la musique de vieux pour les vieux" et sound graveyard bound ne le démentira mas. ce troisième album croise néo-folk avec le rock et a plus de chair que les deux autres : la guitare électrique s'affirme et des solos sont à profusion. malgré tout, la chair est frappé par ce naufrage qu'est la vieillesse et le moindre mouvement fait mal. c. est vivant, on l'entend respirer et déglutir, mais son chant se propage en échos, comme s'il avait un pied dans la tombe. Jordan Vauvert